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L’investissement dans l’économie locale

"Capital développement territorial" vient de voir le jour et a pour ambition de soutenir des projets du territoire enpermettant de savoir où atterrit l’argent des investisseurs.

Ce n’est pour l’instant qu’un nom éphémère, mais l’ambition et les intentions de « Capital Développement Territorial », elles, ne le sont pas ! Depuis le 26 février, cette société à économie mixte (SEM) a officialisé sa présence sur le territoire. Largement impulsé par les élus du Val de Drôme et la Région, ce projet a pour but de rendre le plus simple possible l’accès à l’investissement dans l’économie locale. En gros, on entre dans le capital de la SEM, qui choisit ensuite de soutenir tel ou tel projet compatible avec les objectifs de Biovallée dans le cadre du développement durable.

Il y a un tout juste un an, un grand forum était organisé par la Communauté de Communes du Val de Drôme autour de la volonté de voir l’argent local rester sur le territoire et surtout financer des dossiers porteurs pour la vallée et ainsi créer du lien social, cher aux élus de la structure. Plus de 150 personnes, élus et simples citoyens, techniciens territoriaux et agents de développement, représentants d'associations ou entrepreneurs s’étaient alors réunies pour que cette idée devienne un projet, un dossier et enfin, une société dont le président, Jean-Marc Bouvier, était fier de prendre la parole devant une assemblée d’investisseurs et de membres fondateurs. « Nous allons pouvoir aider à maintenir et créer de l’emploi à présent. Si la gestation a peut-être été un peu longue, car il a fallu convaincre des collectivités locales pas toujours favorables, faire le nécessaire pour correspondre juridiquement au cadre de la loin de finances.

Aujourd’hui, ces obstacles sont levés et on constate que le caractère innovant d’une SEM, qui a pu être un frein à une époque, est de plus en plus en reconnu maintenant, notamment à travers la loi de transition énergétique, dans laquelle l’investissement participatif devient quelque chose de normaliser. Il faut remercier ceux qui ont cru en ce projet dès le début et qui se sont battus pour qu’il aboutisse. Le cordon ombilical est coupé avec la CCVD, il nous reste à faire vivre cette société. » (...)

La suite de cet article est à lire dans Le Crestois du 6 mars 2015.

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