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Allex : et maintenant on se calme

L'agitation désordonnée observée autour du référendum d'Allex, annulé de façon totalement prévisible, appelle à présent à retrouver du calme et de la hauteur de vue.

Et d'abord il faut redire ce qui est important et ce qui est accessoire. Les malheureux dans cette affaire, ce sont les réfugiés. Eux ont tout perdu. Ils sont venus chez nous au terme d'un itinéraire de cauchemar. Ils représentent à Allex actuellement 0, 004% de la population. Et les seuls dont on n'entend pas parler actuellement sont, comme par hasard, ceux qui s'en occupent pour de bon, à savoir le diaconat protestant chargé de gérer leur dossier et ceux qui, là ou ailleurs dans notre région, accueillent dans leur famille, c'est-à dire dans leur intimité, ces malheureux privés de tout repère.

Pour autant, c'est entendu : non, ça n'est pas simple. Mais il est hautement douteux qu'on règle quelque problème que ce soit en créant de l'agitation, par exemple autour d'un référendum dont l'annulation était inévitable. Nul n'est sensé ignorer la loi, surtout pas lorsqu'en tant qu'élu on doit la faire appliquer. Le bruit ainsi fait a, de façon parfaitement prévisible, profité à tous ceux qui se nourrissent de l’ "hystérisation" de notre vie politique...
(...)

La suite de l'édito de J. Mouriquand est à lire dans Le Crestois du 7 octobre 2016

À lire également dans notre édition du 7 octobre 2016 :

Clap de fin

Samedi matin 1er octobre, après une nuit mouvementée en réflexions avec ses adjoints, le maire, Gérard Crozier, a annoncé qu'il annulait le référendum, alors prévu le lendemain. Face à lui, une foule de journalistes et de photographes qui le questionnaient tour à tour sur ce revirement de situation soudain.

Suite à la décision du tribunal administratif de Grenoble qui s'est opposé la veille, soit le vendredi 30 octobre, à l'organisation du référendum, Gérard Crozier a préféré battre en retraite par mesure de sécurité : « Après en avoir longuement discuté tard dans la nuit avec mes adjoints, j'annonce l'annulation du référendum. Le maintenir serait préjudiciable pour ma fonction et pour l'ordre public de la commune. Je tiens à ramener le calme dans le village »...
(...)

Suite dans Le Crestois du 7 octobre 2016

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