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L’imparfait du subjectif

Transitions, la chronique de Vincent Meyer du 4 décembre 2020.

Dès potron minet ruissellent sur nous des messages négatifs et toxiques : décompte des victimes de la pandémie, peur ambiante, frustrations, colères. À la radio, à la télé, sur le net, c’est à qui en rajoutera. La surenchère se vend bien et l’émotion fait de l’écoute. Et des dégâts. C’est bon pour la publicité. Pas pour me faire une juste opinion, comprendre le fond des choses, discerner le vrai du faux. Pas pour me rassurer. Ce n’est pas faute de faire s’exprimer toutes sortes de personnes. D’autant plus assurées de leur vérité qu’elles n’y connaissent pas grand-chose, d’autant plus véhémentes qu’elles campent sur leurs certitudes. Toutes déplorent le malaise général, dénoncent les ravages psychologiques induits, pointent la confusion de l’information. Et y contribuent !...

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Chronique publiée dans Le Crestois du 4 décembre 2020

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