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Dans la seringue…

Transitions, la chronique de Vincent Meyer du 18 décembre 2020.

Le vaccin, moi, je suis plutôt pour. Mais à condition que certaines conditions soient remplies… Pasteur a créé le vaccin de la rage. Une vraie avancée pour l’humanité. Ce premier pas était purement motivé par le désir de protéger. La recherche et la production d’un vaccin sont aujourd’hui à la base d’un business des plus lucratifs de la planète.

La première motivation n’est plus la même. C’est le profit. Cela justifie un lobbying acharné, l’impasse sur des étapes cruciales de mise au point, l’omerta sur les données d’expérimentation. L’addition d’adjuvants parfois toxiques (comme l’aluminium), pour doper l’efficacité, est devenue pratique générale, ce qui permet de réduire la teneur en principe actif et d’augmenter les marges.

Des vaccins contre la Covid sont en train d’arriver sur le marché. À marche forcée. Pour sauver des vies ou pour prendre une avance décisive sur la concurrence ? Au risque d’une catastrophe sanitaire et d’un scandale encore pire que le sang contaminé ?...

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Chronique publiée dans Le Crestois du 18 décembre 2020

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