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L'Hôpital de Die est toujours en danger

Le Comité de Défense alerte encore le plus haut niveau de l’État. Une lettre vient d'être adressée à Marisol Touraine.

Devant l’urgence de la situation concernant la maternité et la chirurgie de l’hôpital de Die, par lettre en date du 30 janvier 2017, au nom du Collectif de Défense de l’Hôpital de Die, le président, Philippe Leeuwenberg, s’est adressé à Madame Marisol Touraine, Ministre de la Santé, dans les termes suivants :

« Madame la Ministre, en juin 2016, par un arrêté 2016-1202, vous avez accordé le "renouvellement de l'autorisation de gynécologie- obstétrique sous forme d'hospitalisation complète" pour le Centre hospitalier de Die jusqu'au 31 décembre 2017. Parallèlement, les autorisations de fonctionnement de la chirurgie ont été aussi prolongées afin d'assurer la sécurité du service de maternité.

Vous indiquiez dans cet arrêté : « Ce délai de dix-huit mois doit être mis à profit pour rechercher, notamment, dans le cadre de la mise en place d'opération de coopération comme le groupement hospitalier de territoire, des solutions durables aux points de fragilité identifiés dans les modalités de fonctionnement. ». Les élus locaux (M. Mariton, député, M. Guillaume sénateur, M. Buis conseiller départemental...) que vous aviez rencontrés en avril 2016 avaient indiqué à la population, par voie de presse, qu'il s'agissait de trouver les professionnels de santé nécessaires au fonctionnement des services de maternité et de chirurgie. Vous précisiez d'ailleurs que deux postes de gynécologues obstétriciens allaient être publiés.
(...)

À la suite de ces autorisations dérogatoires, les postes ont été publiés par le Centre National de Gestion pour la gynécologie obstétrique et la chirurgie. À notre connaissance trois professionnels de santé se sont fait connaître pour les postes de gynécologie obstétrique, mais n'ont pas candidaté dans les formes requises, ne souhaitant pas s'engager tant que l'avenir de la maternité n'était pas assuré pour une durée normale, soit cinq ans. La seconde publication des postes en janvier n'a pas plus convaincu ces professionnels de santé ni d'autres...
(...)

La suite de ce courrier est à lire dans Le Crestois du 3 février 2016

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