Le torréfacteur est installé dans un atelier de l'Usine Vivante, à Crest, où il parfume tous les locaux. Petite visite au coeur d’un métier-passion.

C'est tout un art qu'Antoine Sorez pratique derrière la grande porte d'où émane une bonne odeur, celle qu'on aime à l'heure où blanchit la campagne, ou dans les moments de fatigue : le café. Même si le café est une institution dans le pays, ce n'est pas ceci qui a guidé le torréfacteur vers ce métier, mais bien la finesse et la richesse des choix à faire.

Tout d'abord orienté en cuisine et pâtisserie, le jeune cuisinier part en Australie où il découvre le "café de spécialité". Il prend conscience du travail autour du café, de la recherche du producteur, du café d'origine, fabriqué différemment. « Ce n'est pas l'image du gringo, qui est purement commerciale, c'est vraiment un milieu de découverte, comme le vin » explique le torréfacteur. Il tombe amoureux du milieu et ce n'est pas peu dire quand on voit avec quelle passion, il explique le métier qu'il pratique maintenant...
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La suite de cet article est à lire dans Le Crestois du 27 octobre 2017