Loi zéro phyto : les communes s'adaptent
La commune d'Upie, comme bien d'autres, pratique depuis un an le zéro phyto. Un changement qui bouleverse les habitudes de travail et le visage des espaces verts du village.
Si, pour certaines communes, s'adapter à la loi du zéro phyto est synonyme de contraintes, pour d'autres, cela n'a été qu'une simple formalité. À l'exemple du village d'Upie qui avait déjà entamé les démarches avant 2017 : « En arrivant sur la commune il y a cinq ans, j'ai tout de suite averti le maire, Jean-Jacques Bruschini, que je souhaitais réduire l'utilisation de pesticides. Je suis un convaincu de cette démarche car non seulement nous préservons la nature mais également nos enfants ! » explique avec entrain Jacques Canet, responsable des services techniques.
Un discours rejoint par le maire d'Upie : « L'agglomération Valence Romans a un patrimoine naturel remarquable, mais qui présente une certaine érosion au niveau de la biodiversité et une dégradation de la qualité de l'eau due à la contamination par les nitrates et les pesticides que l'on retrouve dans les nappes phréatiques. Donc au regard de cela, l'Agglomération a souhaité accompagner en 2016 les communes pour mettre en place un plan d'amélioration des pratiques phytosanitaires et horticoles... »
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La suite de cet article est à lire dans Le Crestois du 12 janvier 2018