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Un plan loup qui semble manquer son coup

Le nouveau plan loup 2018-2023 ne contente personne et ressemble à son prédécesseur. Les possibilités de tirer l’animal évoluent, elles, vers la facilité.

Le grand écart effectué par l’État dans le dossier loup n’est pas une position très facile à tenir. Il faut, en effet, pour le ministère de la Transition écologique et solidaire, pouvoir concilier les souhaits des éleveurs et ceux des protecteurs de la nature... Avec ce plan national d’actions 2018-2023 sur le loup et les activités d’élevage, il ne contente ni les uns, ni les autres !

Dès mardi, au lendemain de la sortie des nouvelles mesures, chacune des parties était vent-debout alors que le but du programme était « d’assurer la conservation du canidé et de prendre en compte la détresse des éleveurs »...

Le plan fixe l’objectif d’assurer la viabilité de l’espèce sur tout le territoire français grâce à une population de 500 loups d’ici à 2022. C’était déjà le chiffre planifié précédemment et il faut savoir que les scientiques ont annoncé que la viabilité de l’espèce ne sera atteinte qu’entre 2500 à 5000 individus adultes...
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Là où ce plan interpelle encore un peu plus, c’est que tout le monde savait qu’il n’allait convenir ni aux uns, ni aux autres ! En effet, il a fait l’objet d’une consultation dont les avis n’ont absolument pas été suivis d’effet. Alors forcément, les réactions négatives n’ont pas traîné...
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La suite de cet article est à lire dans Le Crestois du 23 février 2018

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