Les pépinières ont le vent en poupe !
Voici deux histoires qui n’ont rien à voir et qui ont tout à voir. Deux histoires de ces fameuses «pépinières d’entreprises» par lesquelles les différents acteurs de notre région essaient d’attirer des Géo Trouve-tout, des petits gars astucieux qui, aujourd’hui n’ont que de modestes projets, mais demain... allez savoir. Il y a ceux (c’est le cas de la CCVD) qui voient ça en grand, offrant des locaux beaux comme tout, avec en accessoire des possibilités de salles, voire d’amphithéâtre à ceux qui, bien sûr, n’auraient jamais les moyens de se les payer. En somme, ce sont des opérations coup de pouce à des idées intéressantes qui demain, peut-être, génèreront de l’emploi et, du reste, la CCVD a d’ores et déjà prévu des extensions pour ceux qui, en pleine croissance, ne peuvent plus se contenter d’étroits petits bureaux.
Et puis, il y a tout autre chose : l’initiative d’un simple particulier, M. Jean-Noël Breuil à Aouste, qui n’est pas entouré, comme à la CCVD, de la nuée d’assistants et d’animateurs qui font le lien avec les créateurs d’entreprises, mais qui dispose d’un local, sentant presque encore l’encaustique et totalement identifié dans la région puisque ce fut l’étude notariale de?Me Béranger, archi-connu dans la région. Et là l’intérêt est qu’on est dans l’hypercentre de la localité et que des locaux devenus morts au fil des temps, revivent désormais parce que M.?Breuil a fait en sorte que de jeunes créateurs d’activités s’y installent. Soupir de soulagement pour la municipalité. Car, nous l’avons souvent écrit, les bâtiments morts en plein coeur des bourgs sont le cauchemar des élus.
La suite de cet article à lire dans Le Crestois du 21 novembre 2014