Nous sommes allés à la rencontre des habitants du territoire qui ont vécu les événements dans leur jeunesse.

Certains sont venus habiter la campagne suite à l’événement "mai 68", d’autres se sont enrichis des nouvelles données de l’époque. Dans notre édition du 11 mai, découvrez ainsi des témoignages comme celui d’Hélène Gaud qui était à Grenoble pour ses 20 ans lors des émeutes. « On courait très vite car y’avait beaucoup de flics ! Nous avions tous un nom de code car parfois il y avait des infiltrés de la police dans les réunions, on ne disait pas notre nom, le chef, par exemple, s’appelait René ! » 

Parfois, c’est après les événements de mai 68 que les gens ont pris des décisions de changement de vie. Dominique Jarjaille, installée aujourd’hui à Lozeron, avait 18 ans en 68 et était encore au lycée à Villeurbanne. En pension chez les religieuses, elle se souvient des gros changements de mentalité...
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Des témoignages à lire dans Le Crestois du 11 mai 2018