Le dernier conseil communautaire montre l'intérêt de gérer au mieux les finances pour arriver à mener à terme les projets.

Le président, Jean Serret, n'est pas alarmant, mais il sait qu'il va falloir faire preuve de rigueur dans la gestion des finances. L'analyse portée sur l'évolution des ressources de la CCVD de 2010 à 2018 montre une large baisse des soutiens de l'État et des collectivités de 14 millions.

Le versement du fonds de péréquation horizontale, FPIC, mis en place pour compenser la taxe professionnelle, a lui aussi baissé, avec un déséquilibre entre le milieu rural et les agglomérations.

Alors que la capacité d'autofinancement de la CCVD augmentait chaque année, cette année, « elle a fondu comme neige au soleil » affirme le président...
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La suite de cet article est à lire dans Le Crestois du 7 décembre 2018