À force de crier au loup…
"Transitions", la chronique de Vincent Meyer du vendredi 5 juin 2020.
Les thèses complotistes pullulent et font le buzz. Elles ont un large public souvent peu averti, enclin à croire le pire et surtout à rejeter la faute sur l’autre en le diabolisant et en le mettant à distance : le sommet de l’état, les multinationales, les gros riches. Le succès de ces théories vient de la simplicité des raisonnements (le monde est bien plus complexe, mais l’expliquer simplement est difficile et moins audible) et de leur habileté à attiser les peurs et les fantasmes...
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Article publié dans Le Crestois du 5 juin 2020