Salut Manu
La fine "âme" du Lagardère a passé l'arme à gauche. Gilles Rhode lui rend hommage.
La première fois que j’ai poussé la porte du Lagardère, c’était le soir ; l’envie de fumer m’avait bloqué dans mon dessin... Auparavant, je n’avais pas osé entrer dans ce bar. L’ambiance animée, le nom Lagardère me faisant penser à un rendez-vous de bretteurs, de fiers à bras. Et puis le patron en imposait avec sa carrure de docker...
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Article publié dans Le Crestois du 9 octobre 2020