"On se casse la tête pour ne pas annuler"
On en oublierait la musique. Trois jours avant le début des hostilités, mardi 27 juillet, une dizaine de techniciens s’affairent espace Soubeyran pour monter la tribune principale du Crest Jazz Festival.
D’autres membres de l’organisation s’arrachent, eux, les cheveux depuis l’annonce de l’instauration d’un pass sanitaire pour les évènements rassemblant plus de cinquante personnes. C’est le cas de Christian Braillon, référent Covid bénévole et médecin généraliste à la retraite bien connu des Crestois. « On navigue à vue », confirme Alain Bellon, président historique du festival aujourd’hui en charge de la programmation et des relations publiques...
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Article publié dans Le Crestois du 30 juillet 2021