Il y avait du monde devant l’Atelier la Capsule et l’ex-café brocante Le Bon temps.

Il y avait de l’animation dans la rue Sadi Carnot, en ce samedi 16 octobre ensoleillé. À l’occasion de la Journée internationale de la réparation, l’Atelier la Capsule avait ouvert grand ses portes pour un « troc de fringues »et un atelier de retouche de vêtements.

La journée internationale de la réparation vise, comme son nom l’indique, à vanter les mérites écologiques et économiques de la réparation. Parce que réparer, c’est moins cher et moins polluant que d’acheter du neuf...

Émilie Despesse, la maroquinière qui tient l’Atelier la Capsule depuis quatre ans, en sait quelque chose. Ses porte-monnaie, blagues à tabac, trousses et autres étuis d’instrument de musique portent tous quelque part une « capsule », ce déchet qu’on pourrait penser totalement inutile mais qui trouve, dans les créations de la maroquinière, un usage esthétique inattendu…

AU BON TEMPS

L’Atelier la Capsule a saisi l’occasion de cette journée dédiée à la réparation pour mettre dans la boucle sa voisine du Bon Temps. Mélanie, qui tenait l’ex-café brocante du 30 rue Sadi Carnot, est actuellement en train de convertir son commerce en atelier artisanal de fabrication de luminaires solaires.

Bref, il y avait du monde sur les trottoirs de la rue Sadi Carnot, et pour réchauffer les coeurs des uns et des autres, l’orchestre du Pauvre diable a joué quelques compositions de son cru au début de la soirée.

Pour les curieux, sachez que, quand les volets du 34 rue Sadi Carnot sont ouverts, l’atelier la Capsule est ouvert. Sinon, contactez Émilie : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Martin Chouraqui

Article publié dans Le Crestois du 22 octobre 2021