Le cri de détresse des AESH
Elles demandent une juste reconnaissance de leur métier.
Le temps passe mais rien ne change pour les Accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH). Après un mouvement de grève en juin dernier, une vingtaine d’entre elles (puisque la plupart sont des femmes), soutenues par des collègues enseignants, ont cessé le travail mardi 19 octobre.
Un groupe de 35 manifestants s’est rendu devant la Cité scolaire Armorin pour interpeller sur la situation de grande précarité de ces professionnelles aussi essentielles qu’invisibles...
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Article publié dans Le Crestois du 22 octobre 2021