C’est le moment de vous abonner au Crestois
Les prix de nos abonnements augmenteront au 1er avril pour suivre la course de l’inflation.
Comme nous vous l’annoncions début février, nous allons augmenter les tarifs des abonnements au Crestois à compter du vendredi 1er avril. Et ce n’est pas, hélas, un poisson d’avril...
Cette hausse, qui fait suite à celle du prix de vente au numéro (passé à 2€), est censée nous permettre de faire face à l’inflation galopante qui frappe notre pays depuis plusieurs mois et s’est encore accentuée avec la guerre en Ukraine.
Nous en faisons tous l’expérience, dans nos foyers et dans nos entreprises. Les prix de l’énergie explosent et, en ce qui nous concerne, la valeur du papier atteint d’invraisemblables sommets (elle a plus que doublé en un an), tandis que de sombres nuages s’accumulent chaque jour à l’horizon... Ces inquiétants tumultes ne doivent pas pour autant nous faire oublier que nous ne sommes, aujourd’hui, pas les plus à plaindre. Et il serait bien malvenu, à notre petit niveau, de nous décourager ou de capituler.
Il n’est jamais très heureux d’annoncer à nos lecteurs une hausse du prix de leur journal. Mais nous n’avons pas d’autre choix. Et sur qui d’autres que vous pourrions- nous bien compter ? Le Crestois n’existe que parce que vous le lisez, et il en est ainsi depuis 122 ans. Nous ne pouvons que vous inviter à rester à nos côtés et vous promettre que nous ferons tout ce que nous pourrons pour que ce beau journal reste à la hauteur de vos légitimes attentes. Avec un crédo, hérité de nos prédécesseurs : vous raconter chaque semaine les nouvelles de la vallée, en toute indépendance et, si possible, en gardant le sourire.
À ceux qui souhaiteraient bénéficier de nos anciens tarifs, sachez qu’il vous reste une semaine pour souscrire à un abonnement. Quant aux autres, nous vous remercions d’avance pour votre fidélité renouvelée. Nous vous encourageons aussi à consulter nos offres numériques, dont les tarifs restent inchangés (pas de papier, donc pas de hausse).
De notre côté, nous tâchons de tenir la barre, en attendant que passe la tempête.
La rédaction
Article publié dans Le Crestois du 25 mars 2022
