Régionales : les listes gauche et droite
Les régionales approchent ! Cette semaine dans Le Crestois, découvrez la présentation des deux principales listes en compétition.
La gauche drômoise "en Résistance"
Jean-Jacques Queyranne a dévoilé sa liste. C’est Michel Grégoire qui en occupe la tête
Les douze membres de la liste d’union de gauche engagés pour les élections régionales de décembre prochain se sont donné une mission : « faire résistance à la droite extrême et à l’extrême droite. » Interrogé sur la formule, Jean-Jacques Queyranne, président sortant, a même ajouté « on dirait que la Droite et le Front National se disputent une primaire...»
Le ton est donné et la campagne qui mènera les candidats jusqu’aux 6 et 13 décembre va sûrement porter son lot de petites phrases assassines du même genre. En attendant, J-J. Queyranne a présenté la liste des 15 Drômois, issus des différents partis de gauche, chargés de rapporter un maximum de voix pour tenter de conserver la tête de la Région. C’est Michel Grégoire, actuel vice-président chargé de l’agriculture, qui est à la tête d’une liste regroupant des membres du PS et du Front démocrate - Union des Démocrates et des Écologistes. Une diversité que voulait absolument le président dès le premier tour afin "d’avoir une large représentativité."
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La suite de cet article dans Le Crestois du 13 novembre 2015
La liste de droite a été présentée
Nicolas Daragon compte 14 co-listiers dont les Crestois C. Fraud et D-C. Blanc
La liste drômoise de droite et du centre « Un nouveau souffle pour notre région » a été présentée cette semaine à Valence. C’est Nicolas Daragon qui en sera à la tête, au côté de membres des Républicains, de l’UDI et du Modem. L’actuel maire de Valence a été cité par Laurent Wauquiez comme « l’un des nouveaux maires qui incarnent l'envie d'alternance dans notre région ».
Plus globalement, cette liste d’union compte beaucoup de nouveaux puisque 88% des candidats sur la Région ne sont pas des élus sortants et qu’un quart d’entre eux sont âgés de moins de 40 ans. Ils sont engagés selon une charte précise qui prévoit notamment que les élus soient indemnisés en fonction de leur travail ; un engagement sur une baisse des indemnités d’un total de 10 % ; un engagement personnel pour montrer l’exemple sur les conflits d'intérêt ; un encadrement très strict du train de vie des élus ; la publication chaque année d’indicateurs de résultats...
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La suite de cet article est à lire dans Le Crestois du 13 novembre 2015.