Aidante : « Une charge mentale permanente »
Témoignage de Madeleine, qui veille sur sa fille Suzon.
« Je ne m’étais jamais vraiment considérée comme aidante, parce que j’assume mon rôle de mère, tout simplement. Mais, en en parlant, je me pose la question, surtout en prévision de l’avenir. Dans quelles conditions va-t-elle grandir ? »
Madeleine Weinling, professeure des écoles au sein d’un dispositif ULIS à Crest et installée sur les hauteurs de Saillans, parle de sa fille Suzon, 11 ans, atteinte d’une défaillance chromosomique entraînant un trouble du neurodéveloppement. « Je suis un enfant extraordinaire ! », se définit elle-même Suzon, avec un brin de malice...
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Article publié dans Le Crestois du 21 octobre 2022
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