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Photo de deux loups dans une forêt.

Les effets du loup sur la faune sauvage en question

Les chasseurs drômois imputent aux loups la baisse de population de certains animaux sauvages. Mais l’impact du prédateur sur les écosystèmes continue de faire débat.

Depuis trente ans, le retour du loup en France est scruté sous le prisme des dégâts infligés aux troupeaux domestiques. Les impacts écologiques du prédateur sont en revanche moins connus. Cerfs, chevreuils, sangliers, chamois… les ongulés sauvages composent pourtant, en moyenne, autour de 80% de son régime alimentaire, et le rôle des superprédateurs comme des grands herbivores sont déterminants dans les écosystèmes. Le nouveau Plan national d’action sur le loup, qui doit être présenté en septembre détermine la gestion de cette espèce pour les cinq ans à venir et prévoit de mieux étudier ses effets sur la faune sauvage et les milieux naturels.

En l’absence de données objectives, l’impact du prédateur sur la biodiversité fait aujourd’hui débat…

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Article publié dans Le Crestois du 15 septembre 2023

Photo © Freepik

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