Les vélos enlevés, les cyclistes outrés
Vendredi 11 octobre, la police municipale a décroché des vélos dans le centre-ville, et les a envoyés à la fourrière. Provoquant la colère de leurs propriétaires.
Amandine Bordure n’en revient toujours pas. Vendredi matin, elle passe devant la place Ferdinand Marie, à côté de laquelle elle a garé son vélo la veille. Elle aperçoit un policier municipal qui prend des photos d’autres vélos accrochés là. « Je me suis demandé pourquoi, et le policier m’a répondu qu’il fichait les vélos qui étaient mal garés, et si dans l’après-midi ils n’avaient pas bougé, ils partiraient à la fourrière. » Agacée, Virginie lui demande alors pourquoi...
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Article publié dans Le Crestois du 18 octobre 2024