Fête et manifestation militante, le tout haut en couleur.

Caramantran avait des allures de techno-seigneur capitaliste cette année, et son procès, qui a eu lieu devant l’église Saint-Sauveur, a été sans ambiguïté. L’avocat pouvait bien s’agiter, son crime était bien constitué : avoir contribué à la destruction des services publics, par simple avidité et goût pour l’argent sans limite. Il fut donc brûlé, comme il se doit, sur les berges de la Drôme...

Article publié dans Le Crestois du 11 avril 2025