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Le Suisse de Valence

Après un peu de catéchisme, Rodolphe Dejour revient sur l’histoire du fameux sablé valentinois, et sur sa recette !

En continuité avec la recette de la semaine dernière (la couve crestoise) et avant de vous conter l’histoire et la recette du Suisse de Valence, je vais d’abord m’attarder sur la symbolique des Rameaux.

Dans la chrétienté, il y a une double histoire, une glorieuse et l’autre douloureuse : l’entrée solennelle de Jésus à Jérusalem, telle que relatée par les quatre évangiles. « La foule nombreuse venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre et ils criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! » (Jean 12,12). Et l’autre, celle de la mort Christ sur la Croix.

Il est d’usage que, le dimanche des Rameaux, les prêtres de France bénissent les Rameaux. Par ailleurs, il est de tradition que l’on garde les Rameaux bénis ce jour-là, pour en orner les croix et images pieuses de nos maisons. Rameaux que l’on brûle le mercredi des cendres et, lors de la célébration, les prêtres tracent une croix sur les fidèles avec cette cendre. Il était également d’usage dans le Sud-Est de la France que, le dimanche des Rameaux, lors de la Procession, les femmes et les enfants portent au bout d’une branche de rameaux un pain ou un gâteau que les prêtres bénissaient...

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Recette publiée dans Le Crestois du 8 avril 2022

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