Concernant l’article "Quel avenir pour l’Usine Vivante ?", paru dans l’édition du Crestois du vendredi 16 octobre.

Comme de nombreuses associations, l’Usine Vivante subit depuis sept mois l’effet du Covid 19 et son fonctionnement est perturbé. Il est choquant que dans votre article vous ne citiez pas une seule fois cette situation qui est pourtant la cause du tsunami économique que la France traverse.

La vie d’une association n’est pas un long fleuve tranquille, et si un conseil d’administration démissionne, un autre prend le relais, car il s’agit d’un concept fort que nul ne remet en question, et donc un nouveau conseil d’administration prendra effectivement en main la destinée de l’association dans les jours à venir.

Depuis 2015, date du début de cette aventure, les propriétaires du site ont encouragé les acteurs, moralement et financièrement (des mois de gratuités puis de loyers réduits, des mises à disposition d’espaces hors contrat, plus récemment deux mois de réduction de loyers lors du confinement)...

Tribune publiée dans Le Crestois du 23 octobre 2020