La chronique de René Bergier du 18 décembre 2020.

Suite aux dernières annonces gouvernementales en matière de liberté conditionnelle pour cette fin d'année, je me suis dit qu'il était temps d'aller se dégourdir les rotules sur des planches de skis. Renseignements pris sur la densité des flocons, la météo et l'état des routes, je me suis élancé vers les pentes enneigées. Je bavais déjà du plaisir de pouvoir enfin m'évader de ce monde devenu zinzin, pour rejoindre les grands espaces et y respirer à pleins poumons.

Pour remplir les soufflets, oui je les ai remplis… Mais pour skier, ça n'a pas été la même histoire ; jugez plutôt par vous-même.

Sitôt arrivé en station, je me suis inquiété de louer le matériel nécessaire à la pratique de la glisse et c'est là que mes désillusions ont commencé...

Article publié dans Le Crestois du 18 décembre 2020