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On peut toujours rêver !

Tribune du 26 mars 2021 du collectif citoyen des quartiers.

Si on peut traverser toute la vallée de la Drôme pour un euro, il nous est impossible de bénéficier de transports en commun adéquat pour se déplacer en ville, de villages en villages, de consultations médicales en laboratoires ou aller à l’hôpital de Crest, par exemple, pour passer des radios. La liste serait longue. Mais c’est peut-être un faux débat puisque de toute façon, Crest se désertifie sur le plan médical. Les médecins qui partent à la retraite ne trouvent, ici comme ailleurs, pas repreneur. Et la patientèle des partants n’a pas de remplaçants.

Où en est donc la « politique de la ville », ce machin fourre-tout si bien lancé par Borloo dans les années 1990 et toujours repris par les suivants sans résultats ? La politique de la ville avait pour but de réduire les écarts de développement au sein des villes, de faciliter la mobilité afin d’améliorer les conditions de vie des habitants. Pourtant, à Crest comme partout en France, le chômage et le décrochage scolaire sont cent fois plus élevés dans les quartiers populaires. Avec les difficultés de mobilité, l’accès aux soins et aux services divers relève du casse-tête...

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Tribune publiée dans Le Crestois du 26 mars 2021

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