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Sucre amer

Transition, la chronique de Vincent Meyer du 7 mai 2021.

J’avais un doute. Du coup, la dernière fois que j’ai fait mes courses, j’ai redoublé d’attention. Et je confirme. Il y a des denrées, indésirables et inopportunes, qui sautent directement du rayon dans mon caddie quand j’ai le dos tourné ! Hier, c’était un pot de confiture de figues, une tablette de chocolat, un paquet de cookies et une bouteille de muscat.

J’ai pourtant pris de bonnes résolutions alimentaires et, notamment, je souhaite vraiment diminuer le sucre. Bien sûr, il y a bien longtemps que j’ai éloigné de moi les bonbons et autres sucreries, ainsi que les sodas ou cocas. Vade retro satanas ! Je ne suis même plus tenté.

Mais j’ai conscience que le sucre est un poison lent pour l’organisme. À l’extrême, il facilite l’obésité (4 % d’obèses en plus chaque année) et le diabète (40 % de diabète de type 2 en plus en 8 ans). Mais il mine aussi, lentement et sûrement, le corps à bien d’autres titres : hypertension, maladies cardiovasculaires, mycoses intestinales, cancer. Stupeur et tremblements ! Je ne suis pas pressé de sucrer les fraises…

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Tribune publiée dans Le Crestois du 7 mai 2021

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