Et si on en parlait !
On peut en sourire... ou pas. La chronique de René Bergier du 29 octobre 2021.
Bon! Puisque Gigi m’a fortement incité à vous en parler, je vais vous en parler… des élections, ou plutôt de leurs préludes. À vrai dire, c’est tellement touffu qu’on s’y perd un peu ; mais je vais quand même essayer de faire un petit résumé de ce qui nous attend.
On est encore à six mois du podium et toutes les têtes pensantes (et même celles qui pensent moins) s’échauffent déjà ; et ça va continuer de bouillir. Une vieille recette culinaire que l’on se transmettait à la campagne, précisait que pour faire une bonne daube, il fallait la faire mijoter couvercle sur la marmite et à feu doux pour limiter l’ébullition. Pour cette cuisson-là, qui devrait durer un semestre, les bulles pourraient bien éclater, le couvercle sauter et le tout aller au feu, transformant la daube en tambouille.
Il faut dire que si les candidats fleurissent de tous bords et même hors-bords, ils ne semblent pas tous prêts à se payer un costume de président… et pour ne pas avoir réglé la note du costume, d’autres l’ont quand même payé cher par la suite.
Petit tour d’horizon imagé et sans jugement (ou presque), des “principaux” candidats connus ou pas encore installés...
Chronique publiée dans Le Crestois du 29 octobre 2021