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Il faut croire au Père Noël

On peut en sourire... ou pas. La chronique de René Bergier du 7 janvier 2022.

Il y a quelque temps, j’ai rencontré le Père Noël qui terminait sa tournée ; il avait la mine des mauvais jours et a souhaité m’en confier les raisons :

« Tu sais, petit (vu son grand âge et malgré mes bien plus de cinquante ans, je suis un gamin aux yeux du vieux bonhomme), pour la première fois en cette période de fêtes, derrière les guirlandes et les lumières, j’ai ressenti une ambiance morose. Les gens que j’ai rencontrés m’ont confié leurs inquiétudes et, parfois, leurs peurs, tant pour le présent que pour l’avenir… et ça m’a un peu chamboulé sous le bonnet.

À leurs dires, de nombreux éléments perturbateurs sont les signes précurseurs de grands changements (ne pas confondre avec le grand remplacement). À commencer par la petite bestiole qui, depuis bientôt deux ans, fait souffler un vent de panique sur la planète. Cette peur s’est additionnée à celle provoquée par l’hystérie de nombreux médias avides de sensations, transformant leurs chroniqueurs en marathoniens du buzz....

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Chronique publiée dans Le Crestois du 7 janvier 2022