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De main en main

On peut en sourire... ou pas. La chronique de René Bergier du 14 février 2022.

Avec la fièvre du Covid, l’hystérie de la campagne électorale et les innombrables occasions de se prendre le chou, les esprits sont depuis quelques mois sous tension. Il est grand temps de mettre le décompresseur en route. Alors pour que la lueur d’espoir que m’avait transmise le Père Noël ne se perde pas, gardons la main sur nos lendemains. Pour cela, je vous propose aujourd’hui une chronique homéopathique, loin des polémiques et qui pourrait bien vous détendre les zygomatiques... ou pas.

Autrefois, la poignée de main signifiait que l’on venait sans arme ; et si, jusqu’à hier, c’était un geste de salutation ou d’accord, pas sûr pour autant que cela ne cachait pas parfois des armes plus sournoises. Parce que cette poignée de main si conviviale est devenue proscrite - bicause les gestes barrière antivirus - cela m’a inspiré ces quelques lignes d’humour. Et comme personne n’a voulu me donner un coup de main pour ce faire et que je n’ai pas un poil dans la main, j’ai pris mon courage à deux mains, pour écrire ce petit billet en un tour de main.

Petit lexique perso d’expressions populaires...

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Chronique publiée dans Le Crestois du 11 février 2022

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