Tribunes : l'expression libre de nos lecteurs

                

Gigi et le Tour de Gaule (1ère étape)

On peut en sourire... ou pas. La chronique de René Bergier du 11 mars 2022.

Glups ! C’est moi Gigi. Vous pensiez sérieusement que je n’allais pas mettre mon grain de sel dans votre campagne électorale ? Eh bien c’est raté ! Comme c’est raté pour ceux que leurs parrains ont abandonnés. Alors, maintenant que tout le monde est dans les starting-blocks - y compris les concurrents qui chougnaient de peur de ne pas être sélectionnés - je vais vous faire un petit point presse perso… Ça vous changera des chaînes d’infos.

Cette course au podium de l’Élysée, c’est un peu le tour de Gaule, la célèbre grande boucle cycliste ; sauf que là, ils ne seront que douze à se disputer les deux seules étapes prévues et que l’arrivée se disputera non pas sur les Champs, mais au Palais. Malgré un entrainement intensif de plusieurs mois, certains vont quand même suer dans les cols, d’autres s’enivrer dans les descentes....

La suite de cette chronique est réservée aux abonnés numériques. Connectez-vous dans la colonne à droite ou abonnez-vous.

Chronique publiée dans Le Crestois du 11 mars 2022

objectif 1000abonnes