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Gigi et le Tour de Gaule (le podium)

On peut en sourire... ou pas. La chronique de René Bergier du 29 avril 2022.

Glups ! C’est moi Gigi. Oui, je sais… vous attendiez avec impatience le débrief concluant ce Tour de Gaule qui a passionné les supporters de chaque équipe. Passionné, c’est bien le mot ; ils se sont même étripés tant leur enthousiasme débordant les a entraînés dans des élans si immodérés que l’on se serait cru à un match de foot entre Parisiens et Marseillais.

Maintenant que les vélos sont rangés, la caravane publicitaire enfin sous les hangars, les commentateurs assouvis et que les tensions sont (presque) retombées, il est temps de tirer les bilans.

Chaque équipe s’est félicitée des performances de son poulain ; affirmant qu’il avait été meilleur que s’il avait été plus nul. Reste qu’il va y avoir du boulot sur la planche et qu’elle n’aura pas besoin d’être savonnée… les supporters s’en sont déjà chargés. Bref, vous voilà repartis pour un tour qui va durer cinq ans… De quoi user les pneus du lauréat.

Emmanuel, vainqueur de l’édition précédente, a sué dans les bosses..

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Chronique publiée dans Le Crestois du 29 avril 2022

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