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Le surréalisme à la française à l’Élysée... et à Maastricht

Tribune du 13 mai 2022 d'Alain Delforge

Ouf, l’honneur est sauf. Monsieur Emmanuel Macron a été réélu et le couple Macron va pouvoir continuer à patiner sur la fameuse moquette de la salle des fêtes de l’Élysée (un gris doux décliné subtilement en diverses nuances de taupe). À moins qu’ils n’en changent de nouveau, ainsi que de rideaux, histoire de recréer un effet de ruissellement sur le prochain mouvement social. Ce n’est pas tant que je me fus habitué à leur mépris de classe, ou à la gouaille céphalalgisante et à la violence thatchériste à visage poupin du Président, non, c’est le respect du couple pour les traditions à la Française qui m’eût manqué.

Là-dessus, ils sont trop forts. Je ne pense pas au vin rouge, au camembert ou à la terrine de tête de veau persillée (compter 30 g de persil et 80 g d’échalotes pour une tête de veau avec sa langue, au moins deux heures de cuisson) mais au mouvement surréaliste dont Monsieur et Madame perpétuent artistiquement les us et coutumes.

Prenons un exemple au hasard : le financement des hôpitaux et des Ehpad...

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Tribune publiée dans Le Crestois du 13 mai 2022

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