Y en a qui ont vraiment pas de bol
On peut en sourire... ou pas. La chronique de René Bergier du 23 décembre 2022.
Glups, c’est moi Gigi ! Lors de mon escapade chez vos excités du Palais Bourbon, j’ai remarqué, au-delà de l’ambiance surchauffée (on avait pourtant dit, pas plus de 19°), que certains de vos décideurs n’avaient vraiment pas de bol.
C’est le cas d’Olivier, l’actuel porte-voix de votre gouvernement. Il a commencé sa carrière politico-parisienne en succédant à la très diplômée Agnès au ministère de la santé. Elle non plus n’a pas eu de bol ; avec l’arrivée du Covid qui avait rendu sourds ses collègues, elle a dû faire face à tout avec presque rien. Pas chanceuse, celle qui croyait ne plus entendre parler de virus a été nommée à l’OMS… où l’on cause toujours épidémies et pansements.
Mais revenons à Olivier. Durant près de deux ans, il a fait front en répétant inlassablement les consignes sanitaires de lutte contre le Coco, pendant que son ami le roi Salomon annonçait quotidiennement le nombre des victimes...
Chronique publiée dans Le Crestois du 23 décembre 2022