C’est à dire...
La chronique de Vincent Meyer du 5 janvier 2024
Plus personne ne peut dire « je ne savais pas ! » Personne n’ignore désormais que les équilibres qui ont permis le développement de la vie sur terre sont en grand danger. Que les rapports du Giec et les COP se succèdent sans que la course vers l’abîme soit enrayée. Les inondations, les incendies, les sécheresses, les tempêtes multiplient des avertissements de plus en plus dramatiques sans que les politiques économiques changent de paradigme. La biodiversité s’effondre sur terre comme en mer. Les glaciers fondent et les pôles se réchauffent. Le dérèglement climatique est accepté comme une nouvelle normalité et il est déjà admis que les températures moyennes admissibles seront pulvérisées...
Article publié dans le Crestois du 5 janvier 2024