On peut en sourire... ou pas, une chronique de René Bergier du 2 février 2024.

Après mon dernier billet dans lequel, entre autres, je vous présentais mes vœux, j’ai eu confirmation que j’avais pas mal embrouillé nos lecteurs... même l’ami Vincent n’y a pas retrouvé ses petits. Il faut dire que mes brillantes démonstrations (le qualificatif est peut-être un peu fort) étaient certainement trop alambiquées et n’avaient rien de mathématiques... Si ce n’est des additions et des multiplications d’humour.

Certains ont pu se dire que Gigi commençait mal l’année tellement il était zinzin (dérangé). Non, Gigi n’est pas Zinzin ! Zinzin, c’est d’ailleurs un pote de mon traducteur qui avait reçu familièrement ce surnom en référence à son métier ; il était zingueur... et pas du tout zinzin. Moi, si j’héritais de ce qualificatif, ce ne serait pas pour ce métier, mais plutôt pour celui de dézingueur. Cet ami, pour qui l’humour n’est pas une option, se reconnaîtra sans doute et me pardonnera de l’avoir cité.

Concernant mes références calendaires et historiques, que chacun se rassure, je ne me lancerai plus (enfin j’essaierai) dans ce genre de démonstrations un peu tordues. Promis, mon prochain billet ne fera pas référence à de savants (encore un mot trop chargé) calculs, mais plutôt à la politique du moment. Ce sera du lourd et en exclusivité pour le Crestois. De la politique oui ! mais avec le sourire... ou pas.

Gigi

Tribune publiée dans le Crestois du 12 janvier 2024