La pendule de Pat
On peut en sourire... ou pas, une chronique de René Bergier du 16 février 2024.
C’est bien connu, les poissons ne savent pas lire l’heure et c’est d’ailleurs pour ça qu’ils n’ont pas de montre. Aussi pour vous raconter cette histoire de pendule, je vais reprendre la main et laisser mon complice Gigi au repos. Même si les circonstances ont été modifiées et que le texte de fond est un peu imaginaire, le sujet principal et « mécanique » de cette histoire n’en demeure pas moins réel.
Invité à prendre l’apéro par un ami – que l’on appellera Pat – je suis arrivé chez lui vers 19 heures. Après son accueil chaleureux et quelques échanges d’amabilités, je me suis installé dans son salon, tandis que mon ami se rendait dans la cuisine pour préparer l’apéro. Pendant ce court instant, mon regard s’est porté sur la magnifique pendule accrochée au mur...
Tribune publiée dans le Crestois du 29 mars 2024