Qu'ils soient maraîchers en bio ou exploitants de grandes cultures en conventionnel, le constat est le même pour tous : l'eau manque absolument.

Les associés du Gaec de La Ferme de l’Auberge devant des melons asséchés

La couleur jaune des champs est belle dans le Petit Prince mais pas pour les agriculteurs, abattus par cette sécheresse précoce. Le jaune a remplacé le vert des feuilles et des prairies, celui du concombre et des haricots. « Aucune plante n’est pas en souffrance aujourd’hui, même sur des parcelles bien gérées », se désole Ludwig Blanc, exploitant en grandes cultures à Chabrillan.

Depuis le 7 avril, la vallée de la Drôme est en alerte sècheresse et les inquiétudes se sont transformées en réalité : il y aura de grosses pertes...

Article publié dans Le Crestois du 22 juillet 2022

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